Leçon d'économie (Dr. Adrian Rogers 1931)
Un professeur d'économie dans un lycée annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c'est la classe entière qui a connu l'échec.
Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n'y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.
Le professeur dit alors:"OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.
Après le 1°contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui eux étaient ravis.
A l'approche du 2° contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le 1° test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n'était satisfait.
Quand arriva le 3° contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.
A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir.
Les choses sont aussi simples que ça.
Petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses :
"Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche.
Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit.
Tout pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres.
Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela, mes amis, s'appelle le déclin et la fin d'une nation.
On n'accroît pas les biens en les divisant."
**Dr.Adrian Rogers, 1931.**
C'est une analyse logique et un résultat inéluctable... mais valable uniquement pour une société matérialiste dont le système éducatif forme les masses à penser d'une manière "égo-ïste", en élevant la cupidité et la paresse à l'état de vertu. Le seul but existentiel qu'il en découle consiste à amasser un maximum d'argent (accroitre SES biens) et à travailler un minimum (puisqu'on considère implicitement le travail comme une corvée désagréable, envisageable uniquement pour obtenir une récompense)...
RépondreSupprimer"Homme stupide, société stupide."
Même la meilleur entreprise ne peut survivre sans de bons employés; le meilleur système social ne peut survivre à une population "décadente"; une planète ne peut survivre à une gestion chaotique qui prône le déséquilibre (le pseudo "bien-être" de l'espèce humaine et seulement humaine) comme valeur suprême.
On n'accroît pas les biens en les divisant... bien sûr que non... mais les biens ne peuvent pas s'accroître du tout! D'un point de vue planétaire (par exemple), rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme! Le concept de bien qui s'agrandit, n'est qu'une idée égoïste capitaliste basé sur l'idée de "possession" qui sous-entend l'existence de "profiteur" et de "laissé pour compte", de "gagnants" et de "perdants".
Si le socialisme est un échec, je doute fort que le capitalisme puisse arriver à quoi que ce soit de bon sans une métamorphose radicale, c. à d. disparaitre au plus vite par la volonté du peuple, d'un peuple sage qui aura compris où se trouve le réel intérêt de tous.
Mais un peuple ne change pas radicalement si l'individu ne change pas lui-même en profondeur... et cela donne une autre perspective au choix de l'idéologie à adopter actuellement (et qui, je pense, doit être individuelle... je vous laisse cogiter la-dessus).
Oui, le socialisme est un échec... mais l'échec vient d'abord de l'homme et non de l'idéologie.
Totoche
Faux et archi faux! Les tu semble confondre les richesses et les matières premières!!
SupprimerOui les matières premières sont illimitées, mais les richesses ne le sont absolument pas.
Exemple simple: Lorsque que l'on retravaille une matière première elle prend de la valeur (quand un construit une route par exemple) et ce produit retravaillé va permettre de gagner de l'argent (des richesses) ...
Il est idiot et faux de penser que les richesses sont en quantitée limitée aux seules ressours premières.
Comme tu l'as dit rien ne se crée rien ne se perd, tout se transforme Si un chimiste l'a dit c'est bien en parlant de matière or la richesse est totalement immatérielle puisque sa valeur peut varier.
Si tu veux un parallele avec la chime c'est simple. Les molécules et les atomes sont ta matière première avec un potentiel d'energie (potentiel d'energie ne veut pas dire que l'energie existe - seulement qu'elle peut exister, uo crée). Le potentiel d'energie est assimilable à un potentiel de richesse.
Si tu veux libérer de l'energie (ou de la richesse) tu dois travailler tes molécule et tes atomes (ta matière première) alors tu crée de l'energie pour chauffer ta maison, éclairer les rues etc ... que tu va vendre pour t'enrichir! Au final, la matière première sera toujours là (sous une autre forme) et tu auras libéré de l'energie.
C'est bien le travail manuel de l'homme qui crée des richesses, quand on vend une voiture on l'a fait avec les ressources disponible, mais le travail des hommes qui a servit a créer une voiture est une valeur ajoutée donc une richesse ajoutée une fois la voiture vendue.
CQFD
je n'ai pas vu un mot dans le texte qui parle de capitalisme.
Supprimertout à fait d'accord avec le post précédent. Rien ne se perd, rien ne se crée tout ce transforme
RépondreSupprimerJe trouve cette histoire amusante, et pour tout dire assez bien vue.
RépondreSupprimerMais la conclusion du professeur est un bel exemple de sophisme (en gros, la démonstration que le capitalisme est bon, c'est que le socialisme ne fonctionne pas). Quant à la citation d'Adrian Rogers, elle relève d'une idéologie que je trouve purement et simplement abjecte: ceux qui sont pauvres sont des feignasses, et peu importe le milieu ou le pays d'où ils viennent, qu'ils aient eu ou non la possibilité de faire des études, etc). D'ailleurs, la citation ne date pas de 1931, mais de 1984, et si vous voulez en savoir plus sur ce pasteur évangéliste d'extrême droite, allez sur http://en.wikipedia.org/wiki/Adrian_Rogers
Sur la répartition des richesses, je vous renvoie à un article de mon blog inspiré d'un éditorial du New York Times (un dangereux journal communiste).
http://maisquiestarbon.over-blog.com/article-se-gaver-ou-pourquoi-le-capitalisme-aime-l-infinitif-60850094.html
Faux également - personne ne dit que les pauvres sont des feignasses, mais en termes de richesses ils tirent la moyenne vers le bas (ce sont des maths) pas forcement de leur faute biensûr ils peuvent avoir des difficultées, ou tout simple être moins bon sur l'exercice noté!
SupprimerJe vois déjà votre raccourci, je prend bien l'exemple de la classe:
Selon les matières le classement n'est pas forcement le même.
Le capitalisme en soit n'est pas vraiment un mal mais pas nonplus une solution, ce qui pose problème c'est la malhoneteté des hommes (comme pour le socialiste, sauf qu'en plus le socialisme bride la réussite qui devrait être libre a tout un chacun)
Le système le plus normal est le libéaralisme, oùu chacun est libre de ce qu'il veut faire (entreprendre ou non, payer certains services ou non etc ...)
Cette citation et les commentaires associés me laissent pantois.
RépondreSupprimerLa citation car est ne présente que la moitié du problème. En effet, s'il est démontré que la base du socialisme est la redistribution des richesses -générées par les "actifs" et que cette situation est intenable dans le temps, elle ignore -et c'est la seconde moitié du problème- l'aspect "premier" de la sagesse, c'est à dire que tout être a le devoir d'être actif en fonction de ses capacités.
Les commentaires sont quant à eux totalement impreignés d'un manichéisme très en vogue de nos jours : Hors le socialisme, il n'existe que le capitalisme et le seul objectif de ce dernier est "le profit". Erreur erreur. le profit est l'objectif du "libéralisme" et non nécessairement du capitalisme.
Il existe en réalité une autre voie. Celle de "l'humanisme" qui affirme que le bien (au sens global) général est la somme des biens individuels. Cette définition a de tous temps été vérifiée à l'opposé de celle souvent présentée : le bien individuel est la conséquence du bien général (qui devient alors un diktat)
Il me semble que le propos de Rogers est extrapolé vers des considérations idéologiques, certes intéressantes sur les mérites comparés de l'idéologie égalitaire socialiste face à la recherche du profit individuel capitaliste... Mais ce n'est pas cela qu'il dit! Pour être cru, si de deux rameurs l'un décide (et je dis bien décide et non est empêché) de ne pas ramer en s'appuyant sur le fait que l'autre rame fort et bien, le bateau tourne en rond. Il ne s'agit pas de remettre en question la redistribution ni les principes de solidarité qui cimentent une société, mais d'établir un contrôle suffisamment sérieux pour inciter le fainéant (et oui, il y en a) à participer, à éviter l'utilisation frauduleuse des avantages (à combien est chiffrée la fraude à la S.S?)afin que les contributeurs n'aillent pas contribuer ailleurs! Il ne s'agit pas là de riches et de pauvres (Qui est riche? Qui est pauvre?)mais de citoyens égaux, au moins en principe, devant la Loi.
RépondreSupprimerjuste pour te répondre sur la question de la fraude de la SS... ce ne sont pas les assurés qui fraudent le plus mais les professionnels de santé...
Supprimeret les grosses entreprises qui ne reversent pas les cotisations ou qui bénéficient d'exoneration ... de l'etat !
SupprimerTrès bien dit anonyme précédent. Nul n'est besoin de faire de la haute philosophie pour s'apercevoir que l'homme est ainsi fait. Il y en aura toujours qui trimeront pour ceux qui se laisseront vivre. Jean de la Fontaine l'explique très bien dans "la cigale et la fourmie". A moins de faire du "troc" (ce qui me semble impossible à l'échelle mondiale), le capitalisme est nécessaire pour vivre et c'est là que les socialistes ont tout faux en voulant imposer l'égalitarisme. Il y aura toujours des râleurs qui ne foutent rien et qui rendront les autres responsables de leur situation. L'assistanat voila ce qu'ils attendent de la société.
RépondreSupprimerLa nature est par définition inégalitaire... et c'est tant mieux.
RépondreSupprimerSi l'on donne à chaque personne une somme de 100.000 eur au temps t0. Le mois suivant (t1), on s'apercevra que certains auront encore 100.000 eur, d'autres 50.000, d'autres encore 150.000 ou plus et certains n'auront plus rien du tout voire se seront endettés.
Il est donc utopique de penser que la politique communiste ou socialiste soit garante d'une vie meilleure grace au partage de richesse. Il ne s'agit nullement d'une idéologie "marche ou crève" car nombres d'associations existent avec plus ou moins d'entr'aide aux plus démunis. L'homme est ainsi fait...
Tout à fait d'accord, excellente façon d'illustrer votre propos!
SupprimerEn effet, magnifique !
SupprimerUn postulat non vérifié sur la nature humaine qui ferait bien rire la pointe de la recherche dans le domaine. Je te conseille de lire Sapolsky,Gabor Maté ou Wilkinson si tu veux commencer à réfléchir sur la question de la nature humaine.
Même si il est difficile de croire en une société idéale, il n'est pas moins stupide de commettre l'amalgame entre socialisme et communisme.
Si le socialisme est une utopie, je suis content aujourd'hui d'avoir des jours de congés payés (utopiques ?)... C'est ton droit de ne pas aimer les acquis sociaux que l'on doit presque entièrement au socialisme du siècle passé. Je ne parle pas du parti socialiste belge actuel.
Il est fort probable qu'aujourd'hui, comme tu le mentionnes, en donnant une somme d'argent à tout le monde, demain, nous ne serons pas lotis de la même manière. Mais encore une fois, c'est un argument pauvre : absence du contexte, absence de la situation politique et culturelle, de l'idéologie prédominante, de réflexivité.
Je ne donne pas pour autant mon orientation politique, car de quelque bord que je sois en politique, je pourrais tenir le même discours !
Je trouve très positif que tu aies un avis ! Je trouve malheureusement qu'il est immature parce que peu approfondi.
totalement débilitant!
RépondreSupprimerdigne d'une désinformation dangereuse!
Je pleins les élèves de ce Dr.Rogers.
RépondreSupprimerSi enseigner consiste à insuffler le sens critique, alors pauvres étudiants du Dr Rogers.
Si j’ai bien compris, la classe a conduit expérimentalement un essai comportemental (motivation).
L’expérimentateur (le professeur) ne faisait pas qu’expérimentait, il était aussi l’outil de mesure. C’est bien lui qui attribuait les notes. Autrement dit, il évaluait (=donner une valeur) à une entité qu’il dénigrait.
De là à dire que ses cotations était subjectives il n’y a qu’un pas que nous pouvons (et devons) franchir sans hésiter. Telle que conduite cette expérimentation est tout simplement « bidon », indépendamment de la valeur intrinsèque des résultats
Je plains (pleins) ton orthographe...
SupprimerIl ne faisait qu'expérimenter (qu'expérimentait)
Oui numéro du 9 mai: bien vu pour l'orthographe du 2 novembre! et pour le reste c'est verbeux et "intrinsèquement" oiseux! et pour ce qui suit: 5 novembre...." Combattre les inégalités"..Qu'est-ce que c'est que ce charabia et contre qui doit-on mener ce "combat" à part le "Pseudo Socialisme" de ceux qui s'en réclament je ne vois pas ce qu'il y à "combattre". Mais c'est pas gagné même la génothérapie n'en viendrait pas à bout!
SupprimerAlors faut s'y faire et veiller à ne pas se laisser contaminer.
Non mais vous tous beaux penseurs vous arriveriez bien à me faire écrire des conneries.
Mais ça fait plaisir de voir des anonymes pleins d'intelligence ! Capables d'un peu d'esprit critique et de distance face aux idéologies socialistes... et c'est drôle de lire les insultes "abject" "extrême droite" "capitaliste"...(ou les fautes d'orthographe) de ceux qui se contentent de peu!
RépondreSupprimerLe débat me semble intéressant dans une société où il est entendu qu'on doit avant tout combattre "les inégalités".
La question soulevée par le Dr.Adrian Rogers, alimente le productivisme. Un travers des temps modernes.
RépondreSupprimerUne société est constituée d'individus inéluctablement inégaux recherchant leur intérêt personnel, par faute de connaissance du bien commun. Anéantir les inégalités est un leurre, les rendre acceptables est un but.
S'agissant d'un groupe de personnes sages, tous ces débats seraient caduques.
Ce n'est pas le cas. Il n'existe pas de modèle parfait pour répondre à la question.
Une société mieux conduite devrait aboutir au consensus entre le chef et le peuple. Mais l'égalitarisme s'y refuse : chacun à sa place mais chacun réclame la même place.
Il faudrait pouvoir remettre la personne humaine, animée d'un sens moral, au centre du débat dont l'économie ne soit pas le but.
Riches, pauvres, grands, petits, gras, maigres, tous sont impliqués au fait que l'important dans la vie est de savoir mourir.
ce Dr Rogers est Américain, et tout le monde sait (quand tu connais un peu) que les Américains ne font pas de différences entre un socialiste et un communiste, et oui pour eux les deux sont à exterminer .....
RépondreSupprimerentre tout partager chez les communistes et s'entraider chez les socialistes il y a une subtile différence que l'Américain de base ne comprend pas toujours.
il parait que l'on vie pas mal dans les pays socialiste du nord de l'europe..
Le socialisme ce serait l'entraide??? Moi je ne vois qu'un parti qui défend les intérêts de certains en jouant les Robin des Bois. Je ne vois aucun humanisme dans le socialisme surtout dans le discours pré-electoral des dirigeants du PS. Quand à la qualité de vie des pays nordiques, il faut mieux vous renseigner!
SupprimerQuestion à 10€ : connaissez-vous un Etat communiste, ou même socialiste (ne pas confondre avec les pays où les socialistes sont actuellement au pouvoir) qui marche bien, dont l'économie se développe, où les droits de l'homme et de citoyen sont respectés, où les l'unique moyen d'avance sociale n'est pas "la lutte"? Non, vous n'en trouverez pas car ça n'existe pas. C'est ahurissant de voir sur ce forum tant de gens qui s'interdisent de réfléchir, qui se mentent à eux-mêmes. Je comprends les utopistes de XIXe siècle - ils n'avaient pas vu le malheur auquel le fruit de leur hérésie allait mener. Mais vous! Il suffit d'ouvrir les yeux, d'ouvrir un quelconque manuel d'histoire du XXe siècle et de voir le fruit de la mise en œuvre des idées socialistes et communistes. Il y a aujourd'hui encore un malade qui fait ça depuis très peu - H. Chavez. Pourquoi ne pas aller y vivre si ça vous plait tant? Il y a encore quelque chose à manger, au moins l'herbe y pousse encore. Car en Corée du Nord, les gens meurent de faim et la télévision du régime les instruit comment on peut faire une soupe aux herbes qui poussent autour des immeubles.
RépondreSupprimerSur ce, je vous souhaite un bon foie gras à table le jour de Nativité du Christ qui arrive à grand pas. Car dans votre régime capitaliste que vous critiquez tant, vous pouvez fêter encore le jour de Noël, vous avez de l'argent (gagné ou offert par la CAF) pour acheter ce qu'il vous faut, et même ce dont vous pourriez vous passer, consommer du foie gras au champagne, ou du caviar pour certains, et vous ne craignez pas des persécutions pour avoir critiqué ce régime. Mais sérieusement, allez-y pour goûter à la vie des gens qui vivent sous le communisme que vous regrettez de ne pas voir instauré sur votre propre sol.
Et pour conclure, je ne sais pas si vous savez, mais certains pays ont interdit toute propagation des idées communistes au même titre que la propagation des idées nazies (national-socialistes). Si la confusion des deux vous choque, je vous renvois au "Livre noir du communisme" (1992).
Petite remarque au "spécialiste" des Etats Unis et des Américains.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne "les pays socialiste du nord de l'europe" (déjà l'Europe prend un E majuscule), je t'informe qu'aucun des pays du nord de l'Europe n'est un pays socialiste. Ils peuvent être gouvernés par des socialistes, élus dans des suffrages universels, mais ce ne sont pas des régimes socialistes.
Ton antiaméricanisme résulte probablement de l'action des agents secrets soviétiques qui influençaient énormément les "intellectuels" occidentaux à l'issue de la seconde guerre mondiale. Tu vois, leur système ne pouvait pas convaincre, il fallait faire de la propagande. C'est triste de se voir enfumé par la propagande…
Il y a communisme, socialisme, libéralisme, capitalisme (et des variantes). Le socialisme de Rogers relève plus du communisme, et si le capitalisme (le but final est de s'enrichir) peut être excessif, le libéralisme l'est beaucoup moins (le but est de travailler librement). Je simplifie, mais je crois que j'ai cerné la question.
RépondreSupprimerCe texte stupide montre bien ce que donne un mélange d'effet Rosenthal et de loi du moindre effort chez un cureton baptiste à moitié fasciste du Deep South américain.
RépondreSupprimerCopie à revoir Docteur Rogers !
+1000
SupprimerCeux qui se lèvent le matin et qui bossent et ceux qui profitent du système.
RépondreSupprimerMoi je dis bonne copie Docteur et de plus en plus d'actualité.
Encore un effort et vous surmonterez le socialisme la capitalisme le communisme et tout ce qui se rattache à notre système de société , la solution est tellement ailleurs qu'il faut plus que de l'intelligence pour trouver un chemin bon pour l'humanité, par exemple si "demain" une météorite s'abat sur terre comme au temps des dinosaures ;-))) , quelle idéologie sauvera la planète ou plutôt la race humaine ?? au lieu de chercher ce qui est bon pour la société cherchez ce qui est bon pour l'homme , ça changera ... On a tout faux depuis le début, et on persiste..... Il faut inventer autre chose ! La religion la politique la philosophie n'étaient qu'une étape ...
RépondreSupprimerBon et bien je vais bosser ! ;))
natura non facit saltus !
RépondreSupprimerMorsay Président !!
RépondreSupprimerle socialisme et le marxisme pensent que le riche s'enrichit aux dépends du pauvre: or le riche crée de la richesse, il ne la prend pas à autrui, le socialiste prend le fruit du travail pour soit disant aider le pauvre: une formule magique pour avoir des électeurs bien fidèles et reconnaissants: tout faire pour augmenter le chômage et tuer la croissance: un bon stock de pauvres et qui le restent: si on relit des rapports de l'OCDE des années 90 qui comparent les pays développés et qui montrent que les principaux curseurs pour augmenter le chômage sont dans le désordre: une importante dette publique, un important déficit public, un % important de fonctionnaires dans la population active, une faible durée annuelle de travail, des taxes importantes, des charges dites sociales élevées, un code du travail complexe, un salaire minimum artificiellement élevé, l'absence de capitalisation pour la retraite... tout le programme de Hollande
RépondreSupprimeren fait nous sommes champions du monde dans tous ces domaines et ca fait 30 ans que ca dure et il semblerait que la population aveuglée et droguée par le socialisme en redemande, ca ne préjuge rien de bon pour le futur: la réponse classique c'est que la droite est au pouvoir depuis quelques années: chirac n'a surtout rien changé, et les petites réformes faites par Sarkosy ont été compensées pas l'explosion des fonctionnaire et des impôts au niveau des collectivités locales socialistes,
donc toutes les vraies réformes restent à faire si l'on a compris ce qui a crée ce chômage de masse et ce qui l'entretient
un seul exemple: en Suisse on a fait tout le contraire: on a supprimé le statut de la fonction publique, 15% des actifs sont fonctionnaires(contre 30) , on a libéraliser l'assurance maladie, on travaille 42heures, retraite à 35 ans, capitalisation en partie, faible déficit public, dette publique < 40 % du PIB, le salaire minimum concerne peu de personnes, tous sont bien payés, résultat pas de chômage: 3% ce qui correspond au simple renouvellement de postes... c'est tout le contraire du socialisme, mais de vivre de son travail c'est le seul social qui soit respectable....
nous sombrons on peut aller plus bas encore ...
Belle réplique. Je suis totalement de cet avis.
SupprimerEt dire qu'il existe près de la moitié ou plus grave encore, plus de la moitié de la France qui n'est pas en mesure de comprendre cela.
la Suisse, ce beau pays gouverné en partie par l'extrême droite...
RépondreSupprimerMon dieu, quelle répartie !
SupprimerLa leçon d’économie repose sur deux idées présentées d’emblée comme vrais :
RépondreSupprimer1. Les mauvais résultats résultent de la paresse et les bonnes notes sont dues aux vertus du travail. Vision évidemment simpliste de l’école tout comme elle l'est de la société. Rogers est un pasteur fondamentaliste, proche de l’extrême droite américaine, de G Bush, partisan de la guerre en Irak convaincu que Palestine et terroriste sont synonymes. Et on peut encore parler de son combat anti-avortement, anti cigarette, anti alcool, et même anti studios Disney coupable selon lui de faire l’apologie de l’homosexualité ! Mickey homo ! Ajoutons à cela qu’il trouve certaines vertus à l’esclavagisme.
2. 2nd postulat : Le socialisme affirme implicitement que les profiteurs peuvent impunément vivre aux crochets de la société.
Quand K.Marx a-t-il écrit cela ? Jaurès ? Proudhon ? Lénine ? Engels ? Ne cherchez pas : personne !!!
On peu rapidement trouver 2 formes de socialisme :
a/ Le socialisme réformateur, celui de Jaurès par exemple. Qui n’a pas pour but de créer une société égalitaire mais prétends corriger les inégalités du capitalisme par le biais de la redistribution des richesses.
b/ Le socialisme révolutionnaire, celui de Marx pour qui le prolétariat doit détruire le capitalisme et créer une nouvelle société : c’est le communisme dont le but est la création d’une société égalitaire.
Roger confond les deux formes de socialisme.
Les postulats de départ étant faux, quid de sa démonstration ?
Qui croit vraiment que TOUS les bénéficiaires des systèmes de redistributions (ceux qui ont de mauvaises notes qui ne sont attribuables qu’au manque de travail) sont pauvres par paresse, absence de volonté, parce qu’ils le méritent bien ? C’est le discours des élites au XIX°. On y ajoutait l’alcoolisme. Ça évite de se poser des questions sur le fonctionnement et l’organisation de la société. Si les ouvriers sont pauvres, ce n’est pas parce que les salaires sont faibles, c’est parce que les mecs sont alcolos et paresseux. Le discours de Rogers sous-entend que le chômeur /la pauvre par exemple n’est pas victime du chômage, mais en est responsable (la mauvaise note, c’est parce qu’on bosse pas). Et partant, les allocations qu’il touche, suspectes et sont remises en cause… alors qu’il payait tous les mois cette assurance par le biais des prélèvements obligatoires quand il travaillait.
Le thème de l’impôt et des prestations sociales dépasse largement le cadre de l’individu, de son travail, de ses revenus et du bien-être légitime qu’il peut en tirer. C’est toute une vision, une conception de la sociétés qui est en jeu. Sa cohésion. Une nation solidaire ou une société individualiste du chacun pour soi ?
S’il faut condamner la redistribution parce que certains en abusent (qui peut le nier?), il faut aussi condamner le libéralisme parce que des patrons-voyous, financiers sans scrupules et autres margoulins abusent du système capitaliste : ceux qui n’en respectent pas les règles (quoiqu’il y en ai de moins en moins !)
D’un point de vue scientifique, on peut aussi critiquer la valeur de l’expérience du professeur d’économie. Puisqu’il fait son expérience non pour rechercher objectivement mais pour démontrer un postulat de départ qu’il impose comme juste. Autrement dit il donne le résultat avant d’avoir fait l’expérience. Il n’a plus qu’à juger en fonction du résultat qu’il veut atteindre.
Enfin, d’un point de vue pédagogique, on peut se poser des questions sur ce prof qui ne considère la mauvaise note que comme résultant d’une absence de travail.
Enfin, il y a une chose que j’aimerais voir : un DEBAT Jésus vs Rogers.
Jésus, le plus souvent entouré de pauvres dont il fallait bien soulager les malheurs, victimes d’un système. Et Rogers pasteur qui affirme que le pauvre est pauvre parce qu’il le veut bien et qu’il n’a qu’à se démerder.
C’est une chouette vision de l’amour du prochain pour un pasteur ! Si le loup arrive dans le troupeau Il va dire à la brebis qui se fait bouffer : t’as ka courir plus vite feignasse.
Tout d'abord la masse monétaire mondiale n'est pas extensible a l'infini , contrairement a ce que semble penser notre cher pasteur ( a sa décharge c'etait loin d'etre une évidence en 1931)
RépondreSupprimerPour que son expérience colle a la réalité en 2012 il faudrait procéder de cette façon la :
Dans une classe de 30 élèves , l enseignant a 450 points a distribuer.
Un délégué est chargé de distribuer 450 points aux élèves en fonction de leur travail
Le premier groupe de 5 élèves travaille bien et obtient 100 points soit une moyenne de 20
Le deuxième groupe de 20 travaille moyennement et obtient 280 points soit une moyenne de 14
Le troisième groupe de 5 ne travaille pas mais passe tout son temps a faire du lobbying auprès du délégué et obtient les 70 points restants soit une moyenne de 14
au second trimestre un ouragan vient frapper le campus des ces chères têtes blondes, la moitié sont sans ressources.
Le premier groupe de 5 voit sa note divisé par deux par ce qu ils n'ont plus d'ordinateurs pour travailler leur cours.
Le second groupe qui travaillait déjà moyennement voit sa note divisé par trois sans matériel informatique.
Le troisième groupe qui n'avait pas besoin d'ordinateur de toute façon récupère les poins des deux autres et se retrouve avec une moyenne de 45 sur 20.
Ca vous fait sourire ?
Le capitalisme récompense de moins en moins le talent et le travail , car il est gangrené par un système financier qui est complètement déconnecté de la vie reele et qui s'auto-suffit a lui même ( voir le scandale des subprimes et autres produits finnaciers toxique )
ainsi un entrepreneur compétent , créatif et travailleur, ne mettra jamais son talent au service de la société si le système bancaire ne lui donne pas le carburant qui permettra a sa fusée de décoller.
Si demain sur terre chaque habitant réussissait de longues études et bien ... rien ne changerait , il faudrait juste trouver un moyen de discrimination pour repartir la richesse existante.
Anonyme du 8 mai 2012, je ne comprends rien à votre démonstration, alors que celle du Dr. Adrian Rogers, en 1931, est plus palpable, plus raisonable. Vous appuyant sur un argumentaire bidon, ou fictif comme l'ouragan,vous envoyez le lecteur en bateau. Eh bien, moi, cela ne me fait pas sourir du tout. L'ouvrier ne mérite-t-il pas son salaire ou sa récompense? Pourquoi doit-on en donner la moitié à ceux qui ne veulent rien faire de leurs dix doigts?
RépondreSupprimerVoilà qui est bien dit...
RépondreSupprimerAppauvrir les classes moyennes constitue une voie royale pour encore plus de socialisme!
Marre de n'avoir aucun droit et de toujours mettre dans le pot.
Que tout le monde soit réglo... C'est ça le plus important!
Etrange de voir toutes ces discussions autour d'un texte qui raconte une histoire fausse.
RépondreSupprimerLe texte est très mal daté, ce qui n'est pas un bon début.
De plus, la qualité de l'auteur est falsifiée, présenté un pasteur d'extrême droite comme un honorable docteur en économie est digne de la propagande d'une dictature : je rappelle que les dictateurs et leurs proches aiment bien se parer de titre prestigieux, qu'ils s'octroient bien entendu de façon arbitraire. De plus ce point dévoile un artifice rhétorique visant à "blanchir" une source afin de jouer sur la partie ethos du discours.
C'est triste que tant de gens continue de gloser sur un ensemble de citations sur lesquels celui qui les a posté à délibérément menti ou a commis la terrible erreur de diffuser sans vérifier...
Sderoth LF
[Edit : de l'utilité de se relire après avoir écrit un post... et de moins dormir pendant les cours de français...]
RépondreSupprimerEtrange de voir toutes ces discussions autour d'un texte qui raconte une histoire fausse.
Le texte est très mal daté, ce qui n'est pas un bon début.
De plus, la qualité de l'auteur est falsifiée ; présenter un pasteur d'extrême droite comme un honorable docteur en économie est digne de la propagande d'une dictature : je rappelle que les dictateurs et leurs proches aiment bien se parer de titres prestigieux, qu'ils s'octroient bien entendu de façon arbitraire. De plus ce point dévoile un artifice rhétorique visant à "blanchir" une source afin de jouer sur la partie ethos du discours.
C'est triste que tant de gens continuent de gloser sur un ensemble de citations sur lesquelles celui qui les a postées a délibérément menti ou a commis la terrible erreur de diffuser sans vérifier...
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